Santé et Bien-être

Cet été, offrez-vous un séjour « bien-être » aux Cures Marines de Trouville. Hôtel, restaurant gastronomique, spa et thalasso, le tout sur fond de décoration inspirée des années 20…

  • Quelles étaient les contraintes du lieu ?

    Je considère que travailler dans un bâtiment ancien est plutôt une chance : les contraintes peuvent se transformer en opportunités pour créer des volumes et un style différents, mais aussi une architecture plus contemporaine. Et puis, dans un bâtiment ancien, on a déjà l’amorce d’une histoire, d’une atmosphère. Quand j’aborde un projet comme celui-là, j’aime être porté par le lieu. Je me promène et me documente, je m’inspire de la lumière, des teintes de la ville, du bâtiment…L’objectif en termes de décoration est d’être en symbiose avec ces éléments.

  • Trouville vous a beaucoup inspiré ?

    Il existe une vraie différence entre Trouville et Deauville. Ce sont deux villes qui se jouxtent et qui vivent en permanence ensemble, mais elles présentent une ambivalence intéressante. A Trouville, j’ai cherché mon inspiration dans la couleur du sable, de la mer, dans la blancheur du bâtiment, mais aussi dans des choses plus impalpables comme l’atmosphère décontractée, moins formelle qu’à Deauville, plus casual…Ce que j’appelle le « balnéaire chic ».

  • Selon vous, qu’avez-vous le mieux réussi aux Cures Marines ?

    Le bar est sans conteste l’espace que je préfère. Exposé à l’ouest vers la mer, il est baigné le soir d’une très belle lumière. Comme les volumes sont grands, je suis resté dans une gamme chromatique très claire. L’ensemble crée une atmosphère très paisible, un peu hors du temps, très proche de celle que l’on trouvait dans les palaces de la Belle Epoque.