Pauvre Bitos-Le dîner de têtes au Théâtre Hébertot

Figurant parmi les pièces grinçantes du dramaturge Jean Anouilh, Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes fit scandale dès sa première représentation en 1956. Terriblement actuelle, cette pièce triomphe au Théâtre Hébertot avec une troupe d’acteurs brillants, dans une belle mise en scène signée Thierry Harcourt.

Dans une atmosphère inquiétante, des invités grimés sont conviés à un dîner très spécial, pour incarner chacun un personnage célèbre de la Révolution Française. Mais ces gens de la bonne société ont un but : inviter André Bitos, fils du peuple devenu substitut du Procureur, pour lui faire jouer le rôle de Robespierre. Derrière l’aspect bon-enfant de ce dîner, se dissimule un jeu cruel, destiné à pousser Bitos dans ses retranchements. Les échanges subtils et tendus entre les personnages révèlent peu à peu des similitudes entre les actes de Robespierre sous la Révolution et ceux de Bitos au lendemain de la Libération. Jeu cynique, dialogues féroces, rebondissements inattendus…Servie par une troupe d’excellents acteurs, dont le comédien Maxime d’Aboville dans le rôle de Bitos, cette pièce remarquable tient le spectateur en haleine jusqu’à la dernière réplique. Du grand art !

                                                                                                 Photos : Bernard Richebé

 

  • Au Théâtre Hébertot – 78 bis boulevard des Batignolles – 75017 Paris.
  • Du mercredi au samedi à 19h et matinée le dimanche à 17h30.
  • Représentations exceptionnelles les mardi 19 mars et 2 avril 2024 à 19h.

http://www.theatreherbertot.com

Ultima Collection renforce sa présence en Suisse

Ultima Collection annonce l’ajout de trois nouvelles propriétés à son portefeuille en Suisse. Ultima Geneva Quai Wilson, Ultima Gstaad Promenade et Ultima Cologny, dont les ouvertures sont prévues en 2024 et 2025, viendront renforcer la forte présence de la collection dans le pays.

Sur la rive droite du lac Léman, Ultima Quai Wilson, qui ouvrira en avril 2024, est doté d’une série de cinq appartements modernes privés, et incarne la quintessence du style citadin, mêlant architecture d’époque et design chic contemporain. Les cinq résidences, qui comptent trois à six chambres, offrent chacune une intimité et une exclusivité totales, ainsi qu’un service cinq étoiles.

À Gstaad, où le groupe est né en 2016, Ultima Gstaad Promenade profite d’un emplacement de choix sur la Promenade et se destine alors à être le plus grand chalet privé et le plus luxueux de ce village de prestige. Disposant d’un espace considérable sur quatre étages, avec des suites à huit chambres et une Maison des Invités indépendante, la propriété, dotée également d’un cinéma, d’une salle de jeux et d’un spa avec piscine intérieure, ouvrira dès juin 2024.

Enfin, nichée dans la campagne de Cologny, le quartier le plus exclusif de Genève, Ultima Cologny offrira en 2025 deux villas spectaculaires au bord du lac, dotées d’un design épuré et sophistiqué, symboles d’un art-de-vivre contemporain exceptionnel.

Conformément aux standards Ultima, les trois propriétés bénéficient des services Ultima Signature, qui permettent aux clients de profiter d’une expérience hors du commun, personnalisée en fonction de leurs désirs.

http://www.ultimacollection.com

Boucheron célèbre les 20 ans de Quatre

En 2024, Quatre fête ses 20 ans. La collection emblématique de la Maison Boucheron, s’est imposée au fil des années comme une véritable icône joaillière.

Symbole de force et de protection, Quatre est devenue l’emblème de ceux qui préfèrent guider plutôt que commander, inspirer plutôt qu’exiger…Pour comprendre ce statut d’icône, il faut revenir aux origines. En 2004, tout commence par une bague. Quatre codes des archives Boucheron, qu’a priori tout opposait, ont été réunis dans une même création au design urbain et non genré. Quatre anneaux qui ne font plus qu’un et incarnent aujourd’hui cette force contemporaine au service de l’autre. Et pour cause : la bague Quatre ne pèse pas moins de 13,88 grammes d’or. « On ne peut pas créer une icône. Celle-ci se forge au fil du temps, elle s’impose car elle résonne avec la société. Une icône n’est pas conçue pour en être une. Ce sont les clients qui le décident. » Hélène Poulit-Duquesne, CEO de Boucheron.

Vingt ans déjà que Quatre fait rayonner ses codes. Quatre n’est pas une bague comme les autres. Elle est composée de 4 anneaux bien distincts, travaillés individuellement puis assemblés pour former l’esthétique iconique de Boucheron. La collection prouve cette année encore sa puissance créative. D’abord à travers une campagne d’un nouveau genre, mais aussi à travers des nouveautés fidèles à son esthétique, qui réinventent Quatre sans jamais la dénaturer…

Tout au long de l’année, la Maison dévoilera de nouvelles créations, une nouvelle campagne et de nouveaux lieux pour célébrer l’anniversaire de Quatre.

http://www.boucheron.com

BFire by Mauro Colagreco, une cuisson au feu de bois haute en saveurs

La Plage du Majestic à Cannes invite à découvrir une carte signée du chef triplement étoilé Mauro Colagreco, et inspirée par ses origines italo-argentines. B pour Barrière et Fire pour cuisson au feu de bois, la spécialité de ce beau restaurant qui fait face à la Méditerranée.

A l’approche des beaux jours, laissez-vous séduire par la terrasse ombragée de la Plage Barrière Le Majestic, l’une des plus belles de la Croisette. La carte, courte et simple, fait la part belle aux produits de saison et offre de découvrir des saveurs innovantes grâce au concept de cuisine au braséro argentin. Les entrées, telles que la Burrata crémeuse à la betterave cuite en croûte de sel ou la délicieuse Soupe de poisson de roche de la Méditerranée mettent sérieusement en appétit, avant de découvrir les poissons et viandes savamment cuits au feu de bois maîtrisé. Ainsi, on se délecte avec le Poulpe grillé alla Luciana, le Pageot grillé sur la braise, ou encore le Ojo de Bife (entrecôte) sauce balsamique au poivre et romarin. Et il ne faut pas quitter le BFire sans avoir testé l’un des savoureux desserts, notamment le surprenant Délice Citron de Menton et miel de Provence. Dans une ambiance chaleureuse, les convives profitent d’un moment de dégustation privilégié, en famille ou entre amis, en toute convivialité !

 

http://www.hotelsbarriere.com

Château Clarke, étoile de la Compagnie Vinicole Baron Edmond de Rothschild

Visionnaire, bâtisseur et passionné de vin, le baron Edmond de Rothschild acquiert le domaine Château Clarke en 1973, et se lance dans un projet titanesque. Un demi-siècle après son acquisition, le domaine de Château Clarke constitue l’un des plus grands vignobles du Médoc et une icône de l’appellation.

A l’instar de son illustre famille, le baron Edmond (1926-1997), copropriétaire de Château Lafite-Rothschild, avait un rêve : celui de posséder un vignoble intime et discret, encore méconnu et dont il ferait son chef-d’oeuvre. Château Clarke, propriété d’une famille irlandaise au XVIIIème siècle qui lui donna son nom, puis classé Cru Bourgeois Supérieur, était à l’abandon depuis plusieurs années, lorsque le baron Edmond pressentit l’immense potentiel de son terroir. Dès lors, il entreprit de faire restaurer le domaine, de créer de nouvelles installations, mais aussi de redessiner et de replanter la totalité du vignoble. Château Clarke devint ainsi la première étoile de la Compagnie Vinicole Baron Edmond de Rothschild.

Une nouvelle impulsion

 A la suite de la disparition d’Edmond de Rothschild, la propriété fut transmise à son fils le baron Benjamin (1963-2021) et à son épouse Ariane, qui entreprirent de parachever la métamorphose de la propriété et de ses vins en icônes du Médoc, au-delà même de leur appellation. Dès lors, Château Clarke a bénéficié de leur impulsion pour briller d’un nouvel éclat, notamment depuis 2016, grâce aux talents conjugués de Fabrice Darmaillacq, oenologue et directeur d’exploitation, et d’Eric Boissenot, célèbre consultant, spécialiste des vins médocains. Château Clarke est aujourd’hui l’un des fers de lance d’Edmond de Rothschild Heritage, créé par Ariane de Rothschild pour regrouper l’ensemble des activités art de vivre du Groupe Edmond de Rothschild.

Un pari pour demain

 De 2020 à 2023, pas moins de 18 millions d’euros ont été investis dans la rénovation, l’optimisation et la création d’installations techniques les plus performantes au service des vins, ainsi que dans l’accélération de la restructuration du vignoble pour l’adapter aux effets du changement climatique. Pour parfaire l’expression la plus aboutie de l’écosystème de Château Clarke et du domaine dans sa globalité, cuviers, chais, salles de dégustation et de réception mais aussi jardins ont bénéficié du regard et de l’intervention d’artistes, dans le même souci d’excellence et de singularité. Considéré comme l’un des fleurons de son appellation, Château Clarke est un vin élégant, dense, puissant, frais, aux tanins extrêmement soyeux et précis. Ses qualités se révèlent dès sa jeunesse et s’exacerbent grandement avec les années. Grâce aux vinifications parcellaires, aux extractions douces et aux assemblages millimétrés permis par les nouvelles installations techniques, il a encore gagné en complexité, en précision, en longueur… « Notre responsabilité, c’est de faire de l’art de vivre une partie intégrante des terroirs, de leur vie économique, culturelle et artistique, souligne Ariane de Rothschild. Et d’ériger le savoir-faire en trésor à défendre et à transmettre aux générations suivantes. »